Au XVIIIe siècle, les dentelles aussi se piquent d’être libertines, et les engageantes qui virevoltent de bras en bras ne sont pas de belles dames papillonnantes mais les volants de dentelles et les fines broderies blanches parfois ornées de rubans qui prolongent les manches des robes pendant plus d’un siècle !
Les manches s’arrêtent légèrement au-dessous du coude et sont bordées de deux, trois ou quatre volants de dentelles, les engageantes mettent en valeur la finesse et la blancheur des bras.
Article © DR Pascale Fourtier Debert
Détail Portrait de la Pompadour Maurice Quentin de la Tour