Une baguette magique, un sceptre…?
Balzac achète cet accessoire coûteux à crédit en 1835, son prix de 700 francs se justifiant par son pommeau d’or constellé de turquoises. Ce fastueux achat atteste du succès de l’écrivain lors de la publication de son “Eugénie Grandet” !
Ce bijou est, dit-on, inconvenant, les turquoises étant à l’époque associées aux jeunes filles. Et l’on se demande ce que peut contenir son mystérieux pommeau...
Cette canne est-elle magique ? Oui car on constate qu’elle rend invisible celui qui la porte dans sa main gauche. “M. Balzac ne se cache t-il pas afin d’observer? ; il regarde des gens qui pensent être seuls,…” Delphine de Girardin, dans son roman La Canne de Monsieur Balzac (1836)
A voir dans la Maison de Balzac sur les coteaux de Passy
Article/photo@PFDebert