princesse d’Ecosse qui, fuyant la débauche de la cour de son père (en quelque sorte Peau-d’âne meusienne), se retrouva à Sampigny, dans la Meuse, où elle éleva un sanctuaire de ses toutes petites mains.
On lui doit par ailleurs les merveilleuses créations “en bois de Sainte-Lucie“.
Deux chapelles sont élevées à sa mémoire à Sampigny (l’une dans le bois sur l’emplacement de celle élevé par Lucie, et l’autre dans le cimetière) et l’ancien monastère où l’on sculptait les objets en bois de merisier semble être toujours debout, à droite du cimetière. (pas facile à trouver)
L’histoire non moins banale de Sainte-Lucie est à lire ici :