Des scènes d’intérieur aux ambiances dépouillées, une mise en abîme à la manière des peintres flamands, un regard introspectif, une façon de peindre novatrice jugée obsolète à son époque (1864-1916) mais qui nous rappelle l’univers d’un autre peintre, beaucoup plus tardif… celui de Edward Hopper.
Dédicace spéciale à Thomas Zix.
Film documentaire sur l’exposition du musée Jacquemart-André (Paris) à voir en cliquant ici – article via © Scribeaccroupi