Quand Françoise de Graffigny quitte la Lorraine pour la France, elle est accompagnée de sa femme de chambre (mademoiselle Dubois) et de sa petite chienne Lise surnommé le Zon, elle y est très attachée et dans ses lettres à son ami Panpan (gentilhomme-poète de la cour de Lunéville) elle parle souvent de Lison :
[Cirey, lundi soir, 29 décembre 1738]
« Puisque je n’ai rien a te dire, je vais te parler du Zon . Croirais-tu que quand Dubois la mène avec elle dans la chambre des femmes, elle est couchée avec un chat sur le même lit ? On a eu un peu de peine a l’y accoutumer, mais enfin elle aime encore mieux le lit qu’elle ne hait le chat. ».
Article tiré du futur livre Madame de Graffigny – Amusez-nous chère Abelle.