Hommage à la mathématicienne rendu par Voltaire dans son Siècle de Louis XIV :
« Elle a éclairci Leibnitz, traduit et commenté Newton, mérite fort inutile à la cour, mais révéré chez toutes les nations qui se piquent de savoir, et qui ont admiré la profondeur de son génie et de son éloquence. De toutes les femmes qui ont illustré la France, c’est celle qui a eu le plus de véritable esprit, et qui a moins affecté le bel-esprit … »
Siècle de Louis XIV, Œuvre complète de Voltaire, n° 20, 1785.