(C’est Mme de Graffigny qui le dit)
“La vanité dominante des François, est celle de paroître opulens. […] ils tirent, a grands frais de toutes les parties du monde, les meubles fragiles & sans usage, qui font l’ornement de leurs maisons ; les parures éblouissantes dont ils sont couverts ; […] Parmi eux rien n’est grave, rien n’a de poids ; peut-être aucun n’a jamais réfléchi sur les conséquences déshonorantes de sa conduite. II faut paroître riche ; c’est une mode ; une habitude ; on la suit […].”
Mme de Graffigny, Lettres d’une Péruvienne, 1749.
Illusration de couverture : probable portrait inédit de Mme de Graffigny, collection Jankovitch-Falconet, Palais des ducs de Lorraine
Le plaisir de relire Lettres d’une Péruvienne dans une édition datée de 1822.
Les mots agencés avec finesse par les imprimeurs-typographes semblent ne pas avoir le même sens. Ils sont bien meilleurs…
toute ressemblance avec des personnes , des peuples , ou des événements de l’époque actuelle ne serait que pure coïncidence ou médisance……………………..