Amélie est fière de figurer dans notre encyclopédie vagabonde Diderot – L’inattendu, dans laquelle elle surgit, p. 62, tel un pop-up endiablé, parce qu’elle est une adepte du café de Flore, temple des “bobos parisiens“.
A la fin du XIXe siècle, lors du percement des Grands Boulevards, le café de Flore s’éleva étrangement à l’endroit géographiquement très précis de l’appartement du premier bobo digne de ce nom : Denis Diderot. Son grenier de la rue Taranne était le plus couru de Paris.
Le philosophe y reçoit en robe de chambre, ou même parfois sans. Ce qui lui vaudra une réputation de galant homme, ce qu’il ne fut pas vraiment… La méprise vient de ce qu’il fit tomber la robe chamarrée pour faciliter la tache à la peintre Anna Dorothea Therbusch…
Il est vrai qu’il se révéla devant elle nu comme un ver et qu’il s’en vanta :