Les bourses de Panpan [patrimoine lorrain]

[Paris, 18 octobre 1742] [Lunéville, 21 octobre 1742](extrait d’Amusez-nous chère Abelle)La grande occupation de Panpan Devaux (gentilhomme de la cour de Lunéville et fidèle amie de madame de Graffigny) semble être la fabrication de bourses en soie brodées et ce fait est attesté par un amusant dialogue épistolaire entre les deux protagonistes au sujet d’une […]

En savoir plus

Les escaliers de Panpan

Panpan Devaux avait inventé le sport en salle avant l’heure en dévalant les escaliers de sa maison à Lunéville !Panpan est un gentilhomme de la cour de Lorraine, il est connu pour avoir été le confident de la célèbre femme de lettres Françoise de Graffigny.Ils se sont envoyés mutuellement 4 500 lettres et voici ce […]

En savoir plus

La porte de Panpan

Cette porte, tout au bout du quai des Petits-Bosquets à Lunéville, est très probablement celle que Panpan Devaux fit construire pour ouvrir le terrain de sa chartreuse sur le grand canal, afin de “soulager ses jambes malades”. (sic) Après la mort de Stanislas, en 1767, le lecteur du Roy achète la chartreuse de la marquise […]

En savoir plus

Panpan, gardien de “Mon tempé”, chartreuse de Madame de Boufflers

(*la vallée de Tempé était consacrée au culte d’Apollon) La marquise de Boufflers, favorite du roy Stanislas, est la muse de la cour de Lorraine. Sa personnalité y attire philosophes, et grands esprits de l’époque. Aimant les arts, la musique, le jeu, la marquise multiplie aussi, les amants ! On dit que le premier d’entre […]

En savoir plus

Le Panpan, une tuerie !

Connaissez vous le chocolat qui porte le nom ou plutôt le surnom d’une personnalité bien connue de la cour de Stanislas ? “ le Panpan “, un praliné aux amandes avec deux couches de nougatine… une pointe de cannelle… je ne vous en dis pas plus ! En dégustant ce chocolat créé uniquement à Lunéville […]

En savoir plus

Panpan, trésor de Lorraine

Grande émotion de découvrir au hasard d’une rue de Lunéville, la maison de Panpan, l’aimable confident et ami intime de la célèbre auteure Mme de Graffigny et dont l’heureux caractère a servi à éclairer tout un pan de l’histoire du XVIIIe siècle ! Cette maison du 18e siècle est située à l’angle de la rue […]

En savoir plus

Quand ça tient dans la poche, Mme de Graffigny connaît bien…

Actuellement au musée Cognacq-Jay,Luxe de pochePetits objets précieux au siècle des LumièresUne exposition à voir Jusqu’au 29 septembre 2024 Quand ça tient dans la poche, Mme de Graffigny connaît bien…Elle qui n’hésite pas à « glisser dans sa poche » un « marabou » (figurine en porcelaine), pour faire rire son ami « Panpan » alias François Devaux.De passage chez […]

En savoir plus

Les “Pantalone” de Callot

Actuellement au musée des beaux-arts de Nancy une petite exposition bien sympathique sur la Commedia dell’Arte vue et gravée par notre génial Jacques Callot !N’oublions pas que ces “Pantalone” ont tant marqué Mme de Graffigny, petite nièce du graveur, qu’elle surnomma son meilleur ami “Panpan“, son amant “Le Docteur“, se surnommant elle-même “Abelle” (Isabelle)…Petits Riens […]

En savoir plus

Hommage à Michel Bouard qui nous a quitté

Amoureux de Lunéville, Michel en connaissait l’histoire dans ses moindres recoins et partageait son savoir avec gentillesse et passion. Gardien des secrets de Lunéville, il est à l’origine de plusieurs de mes articles : L’allée des soupirs, La porte de Panpan Devaux, Le petit appartement des amours secrètes, …Mes pensées vont vers sa famille.

En savoir plus

Le 12 juillet 1740, à Paris, un orage grille les pieds d’une religieuse et foudroie un prêtre, la bonne Grosse raconte…

Mme de Graffigny se trouve à Paris depuis un an, au service de la duchesse de Richelieu, laquelle atteinte de tuberculose est mourante. La bonne Grosse veille, une nuit sur deux, sa bonne amie et raconte dans une lettre à son ami lunévillois, Panpan Devaux, la nuit qu’elle vient de passer, terrorisée par un violent […]

En savoir plus

«Et qu’on ait bien soin d’elle.» Voltaire prête ses valets à Mme de Graffigny qui manque de tout !

En septembre 1738, Mme de Graffigny quitte sa chère Lorraine et elle erre, telle une sdf, de château en château avant de se rendre à Paris, où son nouveau job, « dame de compagnie de la duchesse de Richelieu », l’attend. Au château de Cirey, chez la prestigieuse marquise du Châtelet, la bonne Grosse devrait […]

En savoir plus

Réminiscences [château de Fléville]

La visite particulière du château de Fléville (en août 2017) a laissé dans mon esprit des souvenirs irréels comme sortis d’un songe.Des bruits furtifs, … une fenêtre qui s’ouvre mystérieusement, … des conversations feutrées, … des bruissements de robes… J’ai l’impression, avec le recul, d’avoir croisé dans la pénombre de ses corridors, ses hôtes et […]

En savoir plus

Mince ! La soirée au château de Vandeléville est reportée…

… en raison de la météo qui prévoie des pluies diluviennes empêchant les animations prévues sous les vieux tilleuls en raison de la crise sanitaire. C’est dommage !Voici une petite histoire concernant le château où Panpan Devaux (ami de Mme de Graffigny) se réfugiait auprès du prieur Guillerant pour soigner ses peines de cœur, alors […]

En savoir plus

Le 11 septembre n’est pas un jour comme les autres !

C’est le 11 septembre 1738 exactement, que s’élance sur les routes Mme de Graffigny !Notre bonne Grosse s’envole vers son fabuleux destin !Partie de Lunéville Françoise de Graffigny se lance à 43 ans dans une nouvelle vie et se débat contre les éléments pendant 10 ans pour devenir l’une des premières femmes « françaises » […]

En savoir plus

Livre sur la Place – Dédicace des Riens et des Secrets le 20 septembre 2020 à la bibliothèque Stanislas de Nancy

Ils sont arrivés, ils sont là !PETITS RIENS DE MME DE GRAFFIGNYExtraits choisis parmi la correspondance de Mme de Graffigny à son ami Panpan Devaux.Sorte de blog avant l’heure de la “bonne Grosse” racontant ses aventures à ses amis lorrains.PETITS SECRETS DES DUCS DE LORRAINE AU XVIIIe SIECLEAnecdotes anciennes et actuelles pour explorer la Lorraine […]

En savoir plus

“Point de fauteuil comode [chez Voltaire], … l’aisance du corps n’est pas sa volupté, aparament.” [sic]

[Cirey, 6 décembre 1738](anecdote marrante quand on sait qu’au XIXe siècle, un fauteuil portera le nom du philosophe)Le lendemain de son arrivée à Cirey, Françoise de Graffigny est invitée par Voltaire à visiter la petite aile qu’il a fait construire dans le prolongement du château de sa Divine Emilie, et dans laquelle il vit.Le grand […]

En savoir plus

Le Zon, petite chienne de madame de Graffigny qui aime encore mieux les lits qu’elle ne hait les chats

Quand Françoise de Graffigny quitte la Lorraine pour la France, elle est accompagnée de sa femme de chambre (mademoiselle Dubois) et de sa petite chienne Lise surnommé le Zon, elle y est très attachée et dans ses lettres à son ami Panpan (gentilhomme-poète de la cour de Lunéville) elle parle souvent de Lison :[Cirey, lundi […]

En savoir plus

Une robe honnête pour aller à Cireï

Madame de Graffigny, alias la Bonne Grosse, est de passage chez madame de Stainville à Demange-aux-Eaux, première étape de son long voyage pour Paris, et elle doit acheter une robe pour être présentable car sa deuxième étape est le château de Cirey, demeure où vivent Emilie du Châtelet et Voltaire, et visiblement la bonne Grosse […]

En savoir plus

Un petit coin à l’abri de l’injustice

Petite enquête sur Vandeléville, petit village charmant du Saintois où François-Antoine Devaux, alias Panpan, gentilhomme poète de la cour de Lunéville et grand ami de madame de Graffigny, se réfugie très souvent pour soigner ses peines de cœur auprès du Prieur Guillerant. On ne sait si Panpan loge au château ou ou au prieuré (presbytère […]

En savoir plus

En finir avec la Taupe !

(attention âmes sensibles s’abstenir)Demange-aux-Eaux, novembre 1738, madame de Graffigny chassée de Lorraine par l’arrivée du roi Stanislas, subit un véritable calvaire sur la route qui la mène à Paris (où l’attend madame de Richelieu au printemps 1739).Une de ses étapes est le « château de l’ennui » où elle est séquestrée deux mois durant par […]

En savoir plus

Madame de Graffigny en vacances à Choisy (épisode 2) – La bonne grosse nous conseille de boire une ou deux bonnes pintes d’eau de la Seine !

Madame de Graffigny est enfin reconnue par le monde littéraire. Grâce à son roman (Lettres d’une Péruvienne) qui est un succès, elle démarre une nouvelle vie et passe des vacances avec sa nièce, ses deux serins et sa chienne, dans un pavillon de campagne près de Paris.Mercredi 11 septembre 1749 (Choisy)” La maison est jolie, […]

En savoir plus

Madame de Graffigny en vacances à Choisy – La culbute du carrosse (épisode 1)

Madame de Graffigny (alias La Bonne Grosse) a quitté sa chère Lorraine en 1738, chassée par l’arrivée du roi Stanislas.Réfugiée à Paris où ses plans d’hébergement s’effondrent les uns après les autres, elle pose enfin « ses ballots » en 1742 dans un appartement « à son goût », rue Sainte-Hyacinthe, « tirant le diable […]

En savoir plus

Que servent joyaux et dentelles Pour ce parer? Ah, la richesse la plus belle Est de s’aimer.

Madame de Graffigny, (Lorraine exilée à Paris et star du XVIIIe siècle pour son best seller « Lettres d’une Péruvienne »), est surtout restée célèbre de nos jours pour sa correspondance de plus de 4500 lettres échangées avec son ami de cœur Panpan Devaux, gentilhomme resté à la cour de Lunéville. Elle confie tous les […]

En savoir plus

Il faut sauver la dernière chartreuse de Stanislas

Recoupage des ruines actuelles de l’une des dernières chartreuses de Lunéville avec les plans dessinés par l’architecte Piroux, l’élévation correspond bien a celle des chartreuses briquetées construites sous Stanislas vers 1750.Superposition de l’élévation de la façades en ruine sur l’élévation de l’architecte Piroux de la chartreuse de Montempé offerte par madame de Boufflers à Panpan […]

En savoir plus

Astuce beauté de madame de Graffigny

Les mouches sont de petits morceaux de taffetas noir que l’on met sur son visage au XVIIIe siècle, elles sont censées exprimer toute une gamme de sentiments.Madame de Graffigny, très fine et distinguée dans les lettres qu’elle échange avec son ami Panpan Devaux (gentilhomme de la cour de Lunéville) et surtout d’un esprit très pratique, […]

En savoir plus

Scoop de 280 ans ! L’enfant caché de la princesse Anne-Charlotte de Lorraine

C’est en lisant la correspondance de madame de Graffigny (dite La Grosse) et de son ami François Devaux (dit Panpan) que l’on découvre ce scoop vieux de 280 ans !Il faut cependant être perspicace car le message est plus que codé par la Grosse et Panpan qui s’y entendent à merveille pour brouiller les pistes […]

En savoir plus

Louise Durival, une pré-révolutionnaire au château de Fléville

Louise du Fresne-Durival (1738-1819) est extrêmement moderne. Physicienne et philosophe(1), elle joue de la guitare, s’habille en homme, vit avec une femme (2), défend des causes sociales, écrit des articles pour l’encyclopédie de Diderot et sera, malgré ses attaches anciennes, pour la Révolution. Elle sera aussi l’égérie du salon littéraire de la duchesse de Brancas (1710-1784) […]

En savoir plus

Collector ! Jeu de cartes Stanislas ! (édité en 1978)

Madame de Boufflers, Emilie du Châtelet, Voltaire, François Devaux, le duc Ossolinsky, Chaumont de la Galaizière, etc… Juste un hic sur la description (sommaire) des personnages ou il est écrit sur Emilie du Châtelet, je cite, ” Esprit curieux, elle publie des ouvrages scientifiques et philosophiques, son œuvre est toutefois empreinte de pédantisme.” !!!!!! Jeu […]

En savoir plus

Une “paparazza” chez Emilie du Châtelet !

Madame de Graffigny, quittant définitivement la cour de Lorraine en 1738, est invitée par Voltaire dans le château d’Emilie à Cirey, et elle n’a pas sa langue dans sa poche pour raconter la vie intime du couple le plus en vue de l’époque ! A peine arrivée, la Lorraine, qui, dit-elle, fait « sa Française […]

En savoir plus

Fléville, un château de contes de fées à 5mn de Nancy !

Une maison de l’oiseleur, une orangerie, des portes dérobées, une princesse de Poix (à ne pas confondre avec la princesse au petit pois), une marquise des Armoises, un saut du loup (haha),… des escaliers en pente douce pour les chevaux… Sept siècles d’Histoire font du château Renaissance de Fléville le plus ancien et le plus […]

En savoir plus

Incroyable règlement de copropriété des Chartreuses de Stanislas,…

… où l’on apprend que trois marronniers de la grande allée sont taillés régulièrement pour “ne point dérober l’action du soleil à la marquise de Boufflers”, favorite du roy ! Primo, secundo, tertio, tout est expliqué en détails aux propriétaires des 10 chartreuses que Stanislas a fait construire le long du grand canal du château […]

En savoir plus

Retour vers le passé

Les époustouflants escaliers de la maison de Panpan Devaux, ami et confident de Mme de Graffigny, sont une merveille de plus à ajouter à la longue liste du patrimoine extraordinaire de Lunéville ! Ces escaliers sont restés tels qu’ils étaient au XVIIIe siècle, plafonds en arcades sculptées, rampes et malgré les carrelages dut XIXe siècle, […]

En savoir plus

Le rouge-gorge, péché mignon de Mme de Graffigny !

Rotis en brochette avec du lard, voila comment notre célèbre femme de lettres lorraine préfère ces charmants petits zoziaux !!! Lorsque Françoise de Graffigny émigre à Paris, elle se les fait importer de Lorraine entre septembre et octobre. Il faut dire que son ami Panpan Devaux la nargue en lui écrivant, juste après en avoir […]

En savoir plus

Ferme bio sur la place Stan !

Acheter ses légumes bio directement sur la place Stanislas tous les vendredis, c’est possible ! La duchesse Elisabeth-Charlotte, Stanislas, Voltaire, Mme de Boufflers ou encore Panpan auraient tous adoré le concept ! Précurseurs eux-même du genre, ils aimaient manger les légumes de leur propre potager, suivant la fameuse doctrine que Voltaire écrira dans Zadig “Il […]

En savoir plus

Mon cul et mon pied vont bien ce matin, merci !

Il semblerait (d’après certains habitants de Lunéville), que Mme de Graffigny ait tenu salon au dessus de l’actuel Monoprix de Lunéville ! (ancienne place des Capucins, source correspondance de Mme de Graffigny)) Car, lorsque après son mariage raté, sa protectrice la duchesse Elisabeth-Charlotte l’invite à revenir à la cour, la “bonne grosse” (comme on la […]

En savoir plus

Je suis une meringue ambulante ! (K. Lagerfeld)

En 1770, le modèle du peintre miniaturiste Nacéien Yves-Dominique Collin connait le même souci esthétique que Karl Lagerfeld qui poudre encore sa “perruque” à outrance au XXIe siècle ! (sic) ! Ce détail n’échappe pas au peintre qui excelle dans l’art du minuscule et pousse le détail jusqu’à représenter la poudre blanche tombée de la […]

En savoir plus

Dépendance d’une ancienne chartreuse de Stanislas

Voici une survivante de l’ensemble de petites maisons, qui composaient les Chartreuses de STanislas, celle-ci fut probablement une dépendance de ces petites maisons bucoliques (photo ci-dessus de 1970), que le Roy avait fait construire pour ses courtisans le long du grand canal des jardins du Château de Lunéville. Ces derniers devaient y cultiver leurs propres […]

En savoir plus

Grrrr… Madame de Grrrrraffigny, une cougar “Lorraine”

Après avoir vécu une malheureuse première vie, battue et ruinée par un mari buveur et joueur. Françoise de Graffigny va vivre plusieurs autres vies. Après l’obtention d’une séparation de corps de son mari violent* (fait extrêmement rare au XVIIIe siècle), (*archives sources policières et témoignages, Correspondance de madame de Graffigny, Oxford (0), bibliothèque de Nancy […]

En savoir plus

Emilie, visionnaire…

“Si j’avais un appartement [des Bains] comme celui-là, je me ferais réveiller la nuit pour le voir”, ces quelques mots écrits par Mme de Graffigny à son ami “Panpan” lors de son séjour à Cirey (en Lorraine), résument bien l’extase qu’elle semble vivre en découvrant l’appartement des bains de son hôtesse, Mme du Châtelet. Elle […]

En savoir plus